Deejo est né de l’envie de Luc Foin et Stéphane Lebeau de (re)donner à chacun le plaisir de posséder un couteau au fond de la poche et d’en faire un compagnon utile du quotidien.
Volubile, le verbe haut, Luc Foin a de l’enthousiasme à revendre, surtout lorsqu’il parle de couteaux. D’ailleurs, il en a toujours un dans sa poche. Dernier en date : le » 15 grammes « , qui ne quitte pas son trousseau de clés. Son doigt caresse l’inox brossé. Visible délectation.
Luc est un amoureux des objets, c’est plus fort que lui. Pas ceux qu’on entasse et qui finissent oubliés dans un coffre. Ceux qu’on utilise souvent, avec plaisir, et qu’on achète sans réfléchir, pour se faire plaisir.
Là où Luc Foin est impulsif, Stéphane Lebeau est réfléchi, rationnel. La création et le design des produits ? C’est Stéphane qui s’en charge. Il a le coup de crayon et l’oeil exigeant. Le suivi de fabrication ? La gestion des fournisseurs ? Encore Stéphane. Il a la patience qui fait défaut à son acolyte devant certaines lourdeurs administratives.
Stéphane Lebeau n’est pas le plus sportif des deux loin s’en faut. Il l’avoue volontiers : jamais, il ne pourrait diriger une société qui fabrique des articles de sport. Il revendique le droit à la balade contemplative, en communion avec la nature. Dans ses poches, on trouve une boîte pour observer les insectes et un Deejo wood en bois de genévrier, dont il apprécie le parfum naturellement poivré…
Deejo est un couteau nomade issu d’un alliage unique : qualité et extrême légèreté. Une plume d’acier conçue pour trancher les mets les plus robustes, de la manière la plus délicate. Petit comme un stylo Deejo est facile à porter, à utiliser et à adopter.
Sur www.my.deejo.fr, chaque utilisateur peut choisir : la taille de son couteau, la finition de son acier, la nature de son manche et enfin, personnalisation ultime : tatouer sa lame, comme on tatouerait son bras d’un symbole qui nous est cher.
Deejo devient alors unique et encore plus personnel.
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