‘sérendipité‘
Dans son travail, Pascale Klingelschmitt tente de répondre par des matières dures (comme la céramique et le verre) aux questions liées aux structures matérielles des organismes vivants, leur propriété, leur temporalité ou leur état de mutation dans le but de rendre palpable l’invisible.
Souvent elle appréhende et confronte les différents acteurs des règnes du vivant dans une relation combinatoire, ce qui l’amène également à traiter notre relation au corps. L’hybridation, la métamorphose ou l’entropie sont appréhendées et convoquent alors intrigue ou dégoût à l’instar d’un cabinet de curiosité. Pour révéler l’intimité du vivant, à l’interface de la physique et de la biologie, elle s’intéresse aux outils d’observation scientifiques des phénomènes physiques tels que la radiographie, le microscope ou encore l’imagerie médicale, jouant ainsi avec les singularités du micro et du macro.
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