Melody’s Echo Chamber |

Avec The House That Doesn’t Exist, Melody’s Echo Chamber déroule une rêverie suspendue, faite de vapeurs psychédéliques et de mélodies qui s’effritent comme de la lumière au ralenti. La voix flotte, fragile et irisée, tandis que les arrangements ouvrent des portes vers des pièces imaginaires, toutes baignées d’une douceur légèrement trouble.
Un morceau comme un mirage sonore : délicat, vaporeux, et résolument chic dans sa façon d’embrasser l’illusion.
Matías Enaut |

Avec Simplement NON, Matías Enaut signe un titre qui claque comme une porte élégamment refermée. Voix feutrée mais déterminée, production minimaliste aux pulsations presque sensuelles : le morceau avance dans une tension subtile, entre douceur assumée et refus tranché.
Un “non” qui sonne chic, net, et étrangement addictif – l’art de la négation transformé en groove magnétique.
Denuit |

Avec TEARS fall, Denuit distille une mélancolie chic, nocturne et graphique. Les synthés s’étirent comme des halos brumeux, la voix glisse avec une gravité élégante, et chaque battement semble tomber au ralenti, tel un frisson sur une vitre froide.
Un morceau sombre, impeccablement stylé, où la tristesse devient esthétique – et le nocturne, un terrain de beauté.








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