Fortement touché par le Covid 19, la consommation de saké a eu de graves répercussions sur le mode de vie quotidien des consommateurs, tant au Japon qu’à l’étranger, ce qui a entraîné une baisse significative de la quantité de saké expédié et consommé.
C’est ce que nous révèle la JSS – Japan Sake and Shochu Association qui regroupe des producteurs de saké, de honkaku shochu, d’awamori et de hon mirin japonais – qui, de se fait, souhaite à-nouveau rendre le saké populaire dans le monde entier, et notamment en France, en tant que boisson de la nation japonaise.
D’autant que les associations avec les mets de la gastronomie française sont nombreuses !
Pour se faire, l’association JSS à fait appel à Vinny Mazzara, saké-sommelier (level1), afin de décrypter les étiquettes des sakés et inciter les Français à déguster plus régulièrement du saké.
Parmi ses accords de prédilection, notons les accords « saké-jambon (Prosciutto di Parma) » ainsi que le « saké-fruits de mer ».
Concernant les membres de la JSS, on notera la brasserie Bunraku, maison ancestrale fondée en 1894 dans la ville d’Aego, le long du Nakasendo, dit « la voie à travers les montagnes centrales », un des cinq axes routiers à l’Époque d’Edo.
La maison puise son eau de brassage depuis une nappe souterraine de qualité provenant de Chichibu, ce qui en fait sa particularité et sa force.
Vif et léger, le nez est sur les fruits jaunes puis sur la banane et les céréales. La bouche est équilibrée avec des notes franches d’Umami bien présentes.
Un saké élégant dont on peut apprécier la force et la pureté du noyau poli. Élégant mais droit, il s’accordera aisément avec une multitude de plats grâce à l’équilibre entre ses arômes et son goût. Côté mer, on pensera à l’accompagner de crevettes panées, de calamar et d’huîtres au citron. Il est aussi possible de l’accorder avec des choix plus audacieux tels que des œufs ou des bouchées végétariennes.
Prix de vente : 14,54€ les 720 ml –
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