Dans un immeuble de pur style haussmannien, l’Hôtel Bowmann 5 étoiles, tient l’histoire de Paris en héritage et le meilleur du confort moderne à la parisienne.
Immeuble à la façade en pierre de taille, gravé des fameuses moulures et corniches typiques, l’Hôtel Bowmann aligne ses étages nobles aux hauteurs de plafonds singulières, et ses balcons filants à certains étages dupliqués dans tout Paris par le plus célèbre préfet de la Seine, Georges Eugène Haussmann.
Derrière la façade historique en pierre de taille, l’Hôtel Bowmann emmené par Hakim Bouddha, à l’origine et développeur du projet, l’architecte Olivier Billiotte et le décorateur Laurent Maugoust, ouvre son porche rouge aux voyageurs.
Assumant son passé comme son présent, l’Hôtel Bowmann conjugue les temps en proposant 48 chambres et 5 suites, toutes spacieuses (de 25 à 100m2) offrant une vue sur Paris ou sur jardin.
Reprenant les codes emblématiques de l’appartement haussmannien – parquet en Point de Hongrie, moulures, cheminée -, le Bowmann se joue des détails et accentue ses reliefs partout.
Aux cheminées marbrées d’origine, s’ajoutent lustres royaux et miroirs monumentaux. Têtes de lit gainées de cuir, guéridons brillants, fauteuils aux coques chromées ou dorées, luminaires de la Maison Charles, l’élégance du sur-mesure et de l’artisanat français y est sacrée. Effets de
rupture assumés, quelques pièces de mobilier contemporain – fauteuils Knoll et Argenta, tapis Toulemonde Bochart – ajoutent une nouvelle modernité.
Pour vivre l’expérience du Paris magique, l’Hôtel Bowmann invite à découvrir sa Suite. Sur les toits, atterrissage en douceur via l’ascenseur privatif. Une terrasse à l’infini avec jacuzzi pour rêver et Paris en panoramique dévoilant ses plus beaux monuments : le Sacré-cœur au loin, le dôme de l’église Saint-Augustin resplendissant, les toits de l’Opéra Garnier, la Tour Eiffel majestueuse… Quelques marches et bienvenue
sur le roof-top de la Suite Bowmann, solarium idéal aux heures d’été et nid d’amour avec vue à 360 degrés.
Partisan d’une cuisine brute et naturelle, respectant le rythme des saisons, féru de tous les types de cuisson (fumée, brûlée, à l’étouffée…), Grégory Cohen imagine une carte bistronomique pariant sur la qualité des ingrédients comme sur la créativité.
A la suite, 7 plats sublimant les beaux produits.
Un poisson du jour entier et découpé sous les yeux du client. Un festival de viandes d’exception variant selon la sélection du boucher star Olivier Metzger. Et des parfums d’exotisme et de végétal à l’image de la daurade
cuisinée aux feuilles de sakura – ces fameuses feuilles de cerisiers japonais –, du coquelet fumé au foin ou des ravioles de langoustines
sur leur nuage de Cognac.
Pour sa première adresse à Paris, Lacure Ocine s’invite à l’Hôtel Bowmann pour offrir une expérience de retraite détox en plein Paris. Une approche holistique et scientifique globale capable d’agir à la fois sur la beauté, le bien-être et la santé de chacun.
Qu'en pensez-vous ?