C’est à partir de la lecture d’un livre sur l’histoire du rugby que Géraud et Benoit d’Argenlieu font le constat suivant : les maillots d’époque sont beaux, authentiques et ont tous une histoire à raconter… impossible cependant d’en trouver !
Ils décident donc de ressusciter des maillots oubliés qui ont pourtant marqué l’histoire.
SPORTS D’EPOQUE, marque française de sportswear haut de gamme fondée en 2007, lance une ligne rendant hommage au tennisman légendaire : Henri COCHET alias » le magicien » à l’occasion des 90 ans de la première victoire d’Henri Cochet aux Internationaux de France.
Né le 14 décembre 1901 au Tennis-Club de Lyon dont son père était directeur-gérant, c’est sans la moindre leçon qu’Henri Cochet va forger jusqu’à treize ans, avec sa soeur pour partenaire, les rudiments de son jeu.
Sa trajectoire commence en septembre 1919, voire durant ce chaud après-midi de mai 1920 où il gagne un set (13-11) contre Georges Cozon, quarante-neuf ans, le président du T.-C. Lyon !
Les années 1923-1925 seront pour Cochet une époque de transition, malgré une double médaille d’argent remportée aux jeux Olympiques de Paris de 1924. Son ascension vers les sommets s’amorce en 1926. Vainqueur du double de Wimbledon, avec Jacques Brugnon (qu’il retrouvera à ses côtés en 1928), il ébranle surtout, pour la première fois, le géant » Big Bill » Tilden dont il vient à bout en quart de finale de Forest Hills par 8-6 au cinquième set.
Voici ce que Lacoste disait du style d’Henri Cochet : « Contre Cochet, je n’avais pas l’ombre d’une chance de le battre lorsque je renvoyais simplement la balle du fond du court, ce qui était mon jeu naturel. L’unique façon pour moi, comme d’ailleurs pour tous les autres joueurs, de battre Henri était de frapper de toutes mes forces sur chaque balle et de l’attaquer violemment avant qu’il n’ait eu le temps de le faire lui-même. Mais cela comportait des risques énormes et ne pouvait évidemment réussir à chaque fois. Quant à jouer mou ou lentement contre Cochet, c’était courir au suicide, car si on lui laissait retrouver sa touche de balle, les jeux s’accumulaient à son profit et on avait une impression d’impuissance, de fatalité, que l’on ne ressentait contre aucun autre joueur ».
SPORTS D’EPOQUE ressuscite ces anneaux pour créer une nouvelle histoire.
Portés par les athlètes français au début du siècle dernier, ces 2 anneaux entrelacés, de couleur bleue et rouge, sont inspirés du symbole de l’Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques. L’Union des Sociétés Françaises des Sports Athlétiques (USFSA), fondée en 1887 et présidée par Georges de Saint-Clair, fut l’organisme omnisport le plus influent de France jusqu’au début du 20ème siècle.
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