Née en 1972 à Barcelone, Ramon Maiden n’a jamais étudié l’art et sa formation d’artiste a été entièrement autodidacte. Sa formation, ses idées, ses sources d’inspiration… sont toutes dynamiques et changeantes, tout comme les techniques et les méthodes qu’il emploie.
J’essaie de ne pas me concentrer sur des choses trop spécifiques et de progresser en utilisant différentes sources et en faisant des expériences.
Sa formation d’assistant sociale, sa passion pour les voyages, son histoire familiale et son expérience des arts visuels… sont toutes très diverses et pas du tout uniformes, ce qui lui permet d’être très créative.
Le travail de Ramon Maiden est le reflet de son mode de vie, de sa carrière, de sa formation, de ses expériences, de ses voyages, de ses intérêts. Il est difficile à définir et il est constamment en mouvement, il grandit et se modifie à la volée. Toujours intéressé par l’histoire, les religions anciennes, la politique, son art en est totalement imprégné.
Mon style est très caractéristique et les gens sont généralement identifiés rapidement. J’essaie non seulement de créer un impact visuel, mais aussi de transmettre un message, une idée, un but… Je perçois le tatouage comme une forme d’expression artistique. Je perçois le tatouage comme une forme d’expression artistique. Beaucoup d’artistes que je suis ne s’occupent pas seulement de tatouages, mais ils sont aussi très doués pour d’autres types d’art. Lola Garcia, Dr. Lakra, Annie Frenzel, Sebastian Domasche, Matthias Boechtter ou Amina Charai sont d’excellents tatoueurs, de grands artistes et des amis.
Il est, parfois, difficile d’identifier son style, changeant avec différentes sources d’inspiration. Il aime les motifs historiques et beaucoup de ses œuvres en sont imprégnées. Les guerres mondiales, l’époque victorienne, les années 20 américaines,… tentent de combiner beaucoup de ses illustrations.
Qu'en pensez-vous ?