Nicolás Beltrán a étudié à l’université nationale de Colombie, où il s’est lancé dans une lutte pour la figuration.
Plus que des certitudes ou des histoires, mes œuvres picturales sont chargées de questions sur l’expérience de la présence dans le regard fixe. Comment l’expérience corporelle inerte devient-elle une expérience mentale? Comment l’image inerte d’un corps active-t-elle la mémoire et l’espace ? Comment la déformation de l’espace bidimensionnel construit-elle des cadres significatifs à partir de l’absence d’un corps en mouvement ? L’intimité dans la proximité de l’eau et de la distorsion évoquent également la fragilité et, par conséquent, la destruction et la construction : la destruction du regard dans la distorsion, la destruction de la réalité dans le nu, mais aussi la construction dans la salle de bains et dans les géométries. Nicolás Beltrán
Son travail se penche donc sur des problèmes formels, tels que la profondeur, la surface, l’espace et la perception des œuvres d’art. Il a bénéficié de nombreuses expositions personnelles et collectives dans des institutions de renom en Amérique Latine et en Amérique du Nord, telles que le Museo de Arte del Tolima, Ibagué ; Universidad Nacional de Colombia, Bogotá ; Museo Olga Costa José Chávez Morado, Guanajuato, Mexique; Museo de Arte Moderno de Bogotá; Museo Caja Real, San Luis Potosí ; Museo Primer Deposito, Guanajuato, et MIFA, Miami.
193 Gallery – 21. rue Béranger 75003 Paris
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