Ásgeir |

Sous la mélancolie nordique, Ásgeir fait tourner sa grande roue de soie sonore. Ferris Wheel est un murmure suspendu entre ciel et mélodie, une pop éthérée où la voix cristalline glisse sur des nappes de synthé comme un flocon sur la vitre. L’Islande y dévoile son spleen le plus lumineux : un équilibre parfait entre gravité et grâce.
Un titre pour ceux qui savent que la mélancolie, bien portée, est la plus élégante des émotions.
Copycat |

Faussement désinvolte, vraiment félin, Va t’faire claque comme une gifle satinée. Copycat mêle nonchalance rétro et ironie mordante sur une ligne de basse qui chaloupe avec arrogance. C’est du chic garage, du venin bien élevé – une provocation polie, livrée avec un sourire en coin.
THEN COMES SILENCE |

Noirceur ciselée et élégance glaciale : Strangers pulse comme un cœur post-punk sous un manteau de cuir. La basse y gronde avec retenue, la voix effleure le désespoir avec style – un romantisme électrique, impeccablement noir. Une danse de spectres en costume trois-pièces.








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