GALERIE VAUCLAIR |

GALERIE VAUCLAIR |

Pour célébrer 2023, Laurence et Denis Vauclair-Rouquette voient la vie en rose, et transforment leur galerie en un boudoir chaleureux aux teintes de camaïeux de roses.

Des bouquets fleurissent dans ce boudoir rose, œuvres de Roseus Barbatus, magicien de la fleur en papier crépon.

Ce mariage des fleurs avec les pièces Napoléon III de la Galerie Vauclair est magnifié par la scénographie de Denis Rouquette.

Devenue incontournable dans ce domaine, la Galerie Vauclair met à l’honneur les artisans d’art du XIXe à travers ses scénographies enchanteresses.

Antiquaire depuis ses 18 ans, puis experte reconnue de la céramique artistique et du mobilier en rotin du XIXe siècle, Laurence Vauclair est une autodidacte. Issue d’une lignée de tailleurs de renom Laurence aime par-dessus tout les matières et la création.

Installée d’abord aux Puces de Saint-Ouen, endroit cher à son cœur, puis dans le Carré Rive Gauche, dans le 7e arrondissement de Paris, la Galerie Vauclair prend place au sein d’un fantastique réseau d’amitiés, de collaborations et de rencontres.

Bien vite, Laurence est rejointe par son mari Denis Rouquette, magicien du décor.

Au fil des ans, Denis Rouquette met au point de fabuleuses ambiances pour donner naissance à des expositions toutes plus imaginatives les unes que les autres.

Depuis 2018, Laurence et Denis Vauclair-Rouquette donnent carte blanche à des créateurs contemporains, retrouvant leurs premiers amours : la création. Les designers comme Laura Gonzalez, Pierre Gonalons et Sandra Benhamou ; les maisons de papiers peints Fromental et l’Atelier du Mur ; les fleuristes Lachaume ou encore Didier Paul ; et enfin les créateurs de bijoux tels que Toma Clark Haines ainsi que Julien-Loïc Garin.

Célébrant la matière, la couleur, les artisans d’art et l’inspiration, ces partenariats bousculent les codes des galeries d’antiquités et font de Laurence et Denis des antiquaires pas comme les autres.

www.galerie-vauclair.fr

 

Cet article a été publié dans la catégorie DESIGN.

 

Qu'en pensez-vous ?