Après une marche en montagne en hiver ou en été, quand le jour se lève ou que la nuit tombe, que la pluie survient ou que le soleil brûle de mille feux, les odeurs ne sont pas du tout les mêmes. La maison Robertet en a saisi tous les codes.
Quand la nuit s’installe, au retour à l’hôtel, l’odeur du parquet mouillé, du bois dans l’âtre et du cuir ciré des bottes, on a les parfums et les essences qui se confondent, se mélangent, la cire, le bois, le feu, la terre, le goudron. C’est là tout l’univers olfactif de la Numéro 1.
L’âme n’est chaude que de son mystère. Céline
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