Sambika, c’est le parfum du cacao dans la brise humide de l’aube à la vallée de Sambirano.
Quand la douceur émerge d’une rivière mythique, quand le cacao se fait l’écho d’un terroir vibrant, c’est Sambika qui murmure.
Né du rêve de Naïma Meralli-Ballou Ismaël, Sambika est bien plus qu’une chocolaterie : c’est une invitation à goûter Madagascar – sa terre, ses senteurs, ses savoir-faire – dans chaque carré de chocolat.
Une promesse de finesse, de caractère et de charme.
Le chocolat de Sambika s’élabore au cœur de la Grande Île, dans les plantations de la vallée du Sambirano, où les fèves sélectionnées livrent des notes d’agrumes et de fruits rouges, d’une acidité délicate que seuls les cacao fine flavour peuvent offrir.
La marque Sambika pratique le bean-to-bar : chaque étape – fermentation, séchage, torréfaction, broyage – se fait localement, dans un atelier artisanal, où l’on travaille à la fois le goût et la justesse.
Aux délicats parfums du cacao s’ajoutent ceux du pays : gingembre, noix de coco, sucre de canne artisanal… autant d’accents épicés ou exotiques qui forment des accords inattendus, mais toujours élégants.
Sambika ne fabrique pas seulement du chocolat : elle forge des communautés. Les producteurs sont choisis en collaboration directe, on veille à la qualité du séchage et de la fermentation, on forme des équipes locales.
Derrière le goût, il y a une exigence humaine — soigner l’atelier, valoriser les mains qui œuvrent.
Et il y a le beau : les tablettes sont enveloppées dans des packagings robustes, illustrés de paysages malgaches – rivières, baobabs, visages, maisons traditionnelles – comme autant de notes visuelles qui donnent au produit une présence, un charme.
Un chocolat qu’on offre, qu’on dévoile, qu’on savoure aussi des yeux.
Sambika séduit le cœur des fins gourmets, car il y a dans chaque bouchée ce luxe discret : celui du goût pur, de l’origine affichée, de l’objet bien conçu.
Les fines bouches au fin palais et exigeant, ne souhaite pas de chocolat qui hurle : ils veulent un chocolat qui chuchote, qui conte une histoire…
Qu'en pensez-vous ?