Maille Haute-Sculpture
Sept divinités, hérauts d’un manifeste de créativité et d’artisanat.
Bienvenue au panthéon des premières Hautes Sculptures à Porter élaborées par Xavier Brisoux. C’est la réunion du travail, des inspirations et des influences de toute une vie.
Ensuite, chaque héroïne a sa propre singularité avec sa Haute Sculpture à Porter, avec une définition de sa spécificité à travers le choix de la couleur, des formes et des volumes. Les fils utilisés dans la collection sont principalement en coton, une fibre à la fois douce à porter mais suffisamment solide pour supporter son propre poids.
De nombreuses silhouettes sont incarnées dans des couleurs uniques qui définissent leur identité, allant des couleurs neutres aux teintes automnales en passant par le bleu lurex métallique.
Le savoir-faire artisanal est au cœur de la collection.
Dans la maille d’abord, car chaque silhouette est un défi dans sa réalisation. Les limites techniques sont repoussées car beaucoup des Hautes Sculptures à Porter sont tricotées en un seul panneau. En considérant le volume avec et sans le corps, la pièce peut se transcender pour devenir une sculpture, un objet abstrait, une relique qu’un archéologue trouverait en voyageant dans le futur.
Puis Brisoux a également traduit ses tricots en une technique de « flou » avec l’aide de l’Atelier Paloma.
En transposant l’effet plissé à un tube de tissu dans lequel est inséré un tubulaire en crin de cheval, l’esthétique des Hautes Sculptures à Porter devient plus évanescente dans la silhouette « Métiers d’Art ».
L’organza très technique de Jakob Schlaepfer ressemble à du liquide et avec l’indéfinissable couleur vert de mer, ils finissent de donner l’aspect insondable de la robe.
Pour compléter les looks, des chaussures, des gants et des sacs à main ont été spécialement conçus pour la collection. Henry Aschkoyan a développé les chaussures, et Maison Fabre a fabriqué les gants.
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