La Piéta, c’est la mère douloureuse. La femme, la fille, la sœur, la mère, la trainée, la sainte, la folle, la forte, la fragile, la fière, la coup-rageuse, la brisée, la réparée, la cure, la toxique, la douloureuse.
Électronique, éclectique, électrique, tantôt slameuse, tantôt mélodique, souvent entrainante entraineuse entremetteuse, toujours directe, comme un poing dans la gueule, comme les points sur les i, comme les pointillés qui deviennent horizon.
La Pietà n’est pas là pour plaire, mais toujours pour déranger.
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