Raison d’être・Sublimatio Mortis・Grande Loge

Raison d’être |

Chez Raison d’être, le silence a toujours été un instrument. Avec The Slow Ascent, Peter Andersson prolonge son art du drone sacré : une lente montée vers l’abîme, faite de textures funèbres, de chuchotements industriels et d’échos quasi liturgiques. Chaque vibration semble respirer la poussière des cryptes et la lumière froide des cathédrales désertes.

C’est une musique de lenteur, d’introspection, un rituel pour dandy mystique – celui qui contemple la fin du monde avec élégance, un verre d’absinthe à la main.

Sublimatio Mortis |

Avec Nox Entis, Sublimatio Mortis sculpte la nuit en sons. Entre ambient occulte et liturgie industrielle, le morceau avance comme une procession spectrale – cordes éthérées, grondements métalliques, souffle sacré. Tout y respire le mysticisme et la décadence, une beauté sombre, presque alchimique.

C’est moins une écoute qu’une immersion : un voyage intérieur pour dandy ténébreux, amateur d’ombres et de silence habité.

Grande Loge |

Avec Mithra Invictus, Grande Loge invoque la lumière à travers les ténèbres. Pulsations martiales, chœurs rituels et souffle mystique composent un hymne solaire à la ferveur païenne. Entre trance sacrée et puissance tellurique, le morceau érige le culte du son en cérémonie.

Une expérience initiatique pour dandy ésotérique – celui qui préfère la révélation au simple plaisir d’écoute.